le facteur clé de succès « confiance »

« La confiance ne se décrète pas, elle se mérite ». Cette bonne vieille sentence populaire n’a jamais été autant d’actualité qu’aujourd’hui. Sans mérite, pas de confiance. Sans confiance, pas de business.
Mais comment faire aujourd’hui pour « inspirer » confiance, sachant qu’il est impossible de faire appel à tous nos sens pour se faire une opinion sur autrui. La crise sanitaire a accéléré le travail à distance, rendant impossible toutes ces petites choses, ces signaux faibles qui nous permettaient auparavant de construire son jugement, en faisant autant appel au cerveau droit qu’au cerveau gauche.
La poignée de main, l’échange de regards, la gestuelle, et même dans une certaine mesure l’intonation de la voix ne sont plus possibles, ou du moins plus assez fiables à travers une connexion à distance. Le cerveau traiterait environ 400 milliards de bits d’informations par seconde. Cependant, seuls 2.000 de ces bits de données parviendraient à la conscience (0,000001 %). (Dispenza, J. (2008). Evolve your brain: The science of changing your mind). C’est dire qu’en ne faisant appel qu’à ce que notre conscience peut percevoir, nous nous privons d’une grande partie des informations que nous pourrions recueillir et traiter pour prendre une décision.
C’est pourquoi, à l’issue de chaque consultation chez Cliveman, le client laisse un avis sur le prestataire. Cet avis a d’autant plus de valeur qu’il est automatiquement lié à un paiement, diminuant fortement le nombre d’avis de complaisance. C’est ainsi que, avis après avis, se construit une notoriété et l’apport de preuves nécessaires pour faire du business dans ce Nouveau Monde.

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